Confiture de prûnes

mardi 2 janvier 2007.
 
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La confiture de prûnes - DZprod -
Photos - MontagePhoto - Confiture - DZprod

Le plus rébarbatif, c’est le denoyautage ! Je me suis fait pretter un denoyauteur : c’est vraiment pas pratique et le jus giccle de partout : il faut prévoir de toute façon, un tablier. Avec l’expérience, je trouve plus facile le dénoyautage manuel : avec la pointe d’un couteau, on insise le fruit, et récupere le nayau. Travailler en musique permet de ne pas se lasser. Rendement de dénoyautage : 1/2heure/kg. Pour la prûne jaune, je rajoute de la pectine pour garder une belle couleur jaune. La prûne sauvage rouge donne une confiture ressemblant à la confiotte de cérise.

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Confiture de prûnes jaunes
David Zicola - Pot l’Occitane -

C’est avec ce fruit que je me suis exercé à la réalisation de mes premières confitures. J’ai pu en ramasser en quantité sur les 5 arbres bordant la route qui donne sur le feu rouge près de la SPA de Pierrelatte. Personne ne va les ramasser et les fruits se perdent. Merci au paysan de m’avoir donner son autorisation pour récolter ses fruits dont il n’en a que faire !


Bouillotte écologique

Surtout ne jettez pas les noyaux. Avec les noyaux de prûnes comme avec les noyaux de cerises, je fais des sacs d’environ 1 kg. Le sac, après une minute au micro-onde permet de soulager le mal de cou. L’eau contenu dans la graine, hermétiquemlent cellée dans le noyau, est chauffée, puis diffuse doucement et longtemps la chaleur(plus efficacement qu’une bouillotte et écologique car pas d’utillisation d’eau !).


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